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Catégorie : Outils & services

Billet décrivant un produit/service/outil dans son fonctionnement.


IA et enseignement : les ressources indispensables !

L’IA, c’est LE sujet d’actualité dans les hautes écoles et universités. Impossible de passer à côté quand on enseigne puisque les étudiantes et étudiants l’utilisent régulièrement. Cependant, il est difficile de tout lire et de rester à jour sur le sujet de manière pertinente. C’est pourquoi nous vous proposons une sélection de ressources soigneusement choisies par l’Université de Neuchâtel.

Un Padlet de ressources

Elaboré en collaboration entre l’UNIGE, l’UNIL et l’UNINE dans le cadre d’un projet soutenu par swissuniversities, ce mur collaboratif propose une sélection de documents et de sources pour guider les enseignantes et enseignants universitaires dans leurs réflexions sur l’intégration de l’intelligence artificielle (IA) dans leurs pratiques pédagogiques.

Organisé en cinq sections, il offre un panorama structuré permettant de comprendre le fonctionnement de l’IA, d’explorer son utilisation dans les cours, de repenser l’évaluation des connaissances et des apprentissages, d’aborder les questions d’intégrité scientifique, et de communiquer avec les étudiantes et étudiants sur l’IA. Le nombre limité de publications favorise une lecture claire et rapide. Le contenu est appelé à évoluer régulièrement grâce à des mises à jour qui intègrent les nouvelles pratiques et les retours de la communauté académique. Le mur est disponible en anglais, avec des ressources en anglais et en français et nous travaillons à une version en français.

Des ressources à l'UNIGE

Vous retrouvez toutes les ressources internes à l’UNIGE sur le portail de l’enseignement et notamment celles abordées dans le dernier lunch pédagogique IA et enseignement à l’UNIGE : regards et expériences d’enseignantes et d’enseignants.

Un BarCamp sur le thème

BarCamp Ciel 2025 : "IA et enseignement à l'UNIGE, partage d'expérience et bonnes pratiques"
Bannière créée par Noémie Chappuis

Á vos agendas : notez déjà la date du prochain BarCamp Ciel qui abordera spécifiquement la thématique de l’intelligence artificielle dans le cadre de l’enseignement. Cet événement vous permettra de découvrir ce que vos collègues de différentes facultés ont mis en place pour leur enseignement et d’échanger directement avec elles et eux sur leur pratique. Vous pourrez poser vos questions, vous inspirer d’exemples concrets, découvrir de nouvelles ressources, tout en profitant d’un apéritif durant l’événement.

jeudi 18 décembre | 12h-14h
Agora Uni Mail

Journée romande IA et enseignement

Toujours dans le cadre du projet soutenu par swissuniversities, l’UNIGE proposera une journée dédiée à l’IA et l’enseignement intitulée “Quand l’IA bouscule les auditoires – Regards croisés sur l’enseignement supérieur”.

Cette journée interinstitutionnelle proposera conférences, témoignages, ateliers pratiques et tables rondes consacrés à l’intégration de l’intelligence artificielle dans l’enseignement supérieur.

Save the date également pour cette journée gratuite et sur inscription:

18 mars 2026
Campus Biotech

De plus ample seront indiquées sur un site web dédié qui sera accessible en décembre 2025



Carte d’apprentissage – Learning Map dans Moodle

L’été a été mis à profit par l’équipe Moodle pour des opérations de maintenance : mises à jour, nettoyage de données et optimisations. En prime, deux nouveaux plug-ins ont été ajoutés : Etherpad Lite et Learning Map (carte d’apprentissage).

Je profite donc de ces quelques lignes pour vous faire découvrir Learning Map.

 

Learning Map, qu'est-ce que c'est ?

Learning Map est un plug-in qui ajoute une activité du même nom. Il permet la navigation de votre cours ou d’un sujet, à travers une carte à explorer. Au lieu d’afficher les activités les unes sous les autres dans Moodle (qui est l’affichage classique), vous pouvez utiliser Learning Map pour permettre à vos étudiant·es d’explorer le contenu de votre cours.

Votre Learning Map repose sur une image (de votre choix) sur laquelle vous ajoutez des lieux (qui concrètement ressemblent à des points sur votre Learning Map). Ces lieux sont ensuite reliés à des activités de votre cours, tels qu’une vidéo, un quiz, un PDF ou un contenu de page.

Learning Map d'un coeur avec des points rouges. Ces points représentes des activités Moodle.

Learning Map – Image de coeur

Learning Map est très versatile dans ses options. Vous pouvez choisir si la carte se dévoile au fur et à mesure que les étudiant·es l’explorent et accomplissent les activités.

Image d'une carte mère avec des points roses qui représentent des activités Moodle. L'image est partiellement cachée par une brume.

Learning Map – Carte mère

 

Vous pouvez aussi ajouter un chemin à découvrir ou laisser vos étudiant·es libres d’explorer la carte. Toutes ces options sont proposées lors de la création de l’activité.

Image d'une cellule avec des points et un chemin qui relie les points entre eux.

Learning Map – Image cellule

En plus d’être un moyen ludique de visualiser les progrès, Learning Map permet de laisser libre cours à votre créativité pédagogique.

Par exemple, vous pouvez proposer un parcours où l’affichage et l’accès aux activités suivantes dépendent des acquis précédents. Vous pouvez utiliser Learning Map avec une image représentant la progression (p.ex. chemin en étapes), puis vous placez vos activités et les reliez dans l’ordre souhaité.

Concrètement, comment ça marche ?

Pour en savoir plus, voici déjà un aperçu dans le carrousel ci-dessous.

Activez le suivi de l’achèvement des activités au niveau du cours.

Image des paramètres d'un cours, plus spécifiquement, les conditions d'achèvements

Paramètre de cours – Condition d’achèvement

Paramètres d’une activité :

Pour chaque activité que vous souhaitez ajouter à la carte, définissez une condition d’achèvement.

Image de paramètre d'une activité dans Moodle. Spécifiquement les conditions d'achèvement.

Paramètre achèvement d’une activité Moodle

Paramètre de Learning Map :

Une fois les activités et leurs conditions d’achèvement configurées, ajoutez l’activité Learning Map : choisissez une image, puis placez et configurez les lieux. Vous pouvez décider si ces lieux sont reliés entre eux par un chemin.

Image des paramètres de l'activité Learning Map

Paramètres de Learning Map

 

Pour en savoir plus sur la mise en place de Learning Map, consultez la documentation disponible ici.

 

 

Si vous utilisez Learning Map, n’hésitez pas à partager votre usage ! Ou si vous allez tester cette nouvelle activité, je vous souhaite déjà une excellente découverte.

 

Source : https://mebis.bycs.de/kategorien/bycs-tools-im-unterricht/lernplattform-in-der-praxis/aktivitaeten-und-arbeitsmaterialien-der-lernplattform/die-aktivitaet-lernlandkarte



Nouveautés sur InfoTrack : vérifier et référencer les IA génératives

Pour la rentrée académique 2025, InfoTrack, la plateforme d’(auto-)formation aux compétences informationnelles proposée par la Bibliothèque de l’UNIGE, s’est enrichie de deux nouveaux modules de Affiche InfoTrack Nouveauté 2025 : 2 modules consacrés à l'IAformation :

  1. Vérifier les productions des IA génératives en utilisant la “lecture latérale”
  2. Référencer le recours aux IA génératives

Ces modules, composés d’une vidéo de 3 minutes, d’un quiz et d’un résumé des points-clés, ont été créés pour répondre aux évolutions des besoins des étudiant-es dans la rédaction de leurs travaux académiques. D’une part, la technique de la « lecture latérale » donne les clés pour porter un regard critique sur les productions des IA génératives, en particulier sur les sources, parfois trompeuses, que celles-ci peuvent fournir. D’autre part, les recommandations pour le référencement du recours à l’IA permettent d’en faire usage en toute intégrité. A ce sujet, les différents modèles et exemples fournis dans les documents proposés au téléchargement permettent de s’adapter aux exigences variées des enseignements.

Comme toute la plateforme InfoTrack, ces nouvelles ressources sont partagées sous licence Creative Commons BY-NC-SA, ce qui permet leur réutilisation dans un but non commercial (NC) et en conservant cette licence (SA). Chacun-e est donc libre de les intégrer dans ses cours sous ces conditions en citant la Bibliothèque de l’UNIGE. Cependant, l’équipe des formateurs/trices de la Bibliothèque est à disposition pour l’intégration de séquences pédagogiques plus complètes à ce sujet dans des cursus.



Pas besoin de ChatGPT pour ça

Ce billet fait suite à une présentation réalisée dans le cadre des TAKE OVER, des cours sur le numérique donnés par des étudiant.e.s pour des étudiant.e.s. Le lien de la présentation est disponible ici et la vidéo de l’atelier est disponible ici.

ChatGPT est partout et utilisé par tout le monde. Ce nom est tellement dominant qu’il est pratiquement devenu synonyme du terme « intelligence artificielle ». Pourtant, l’intelligence artificielle est bien plus que ça et nombreux sont les utilisateurs qui gagneraient à en apprendre davantage sur l’IA et à découvrir des alternatives à ChatGPT.

Introduction

Introduction

Nous avons trop souvent l’habitude de parler de l’intelligence artificielle (IA) de manière générale, mais sans nous attarder sur ce que ça représente. À cet égard, on parle souvent de ChatGPT, ce modèle d’intelligence artificielle utilisé par tout le monde, mais sans aller plus loin. Par exemple, on ne le décline pas sous ses différents modèles (GPT-4o, o1, etc.). Pourtant, il existe tellement de modèles en dehors de ceux proposés par OpenAI, tels que les séries Claude (Anthropic), DeepSeek (DeepSeek), Gemma (Google), LLaMA (Meta) et Qwen (Alibaba Cloud).

En réalité, lorsque l’on s’intéresse davantage au sujet, on parle de modèles d’intelligence artificielle établis sur le deep learning (réseau de neurones). Les Large Language Models (LLM pour Large Language Models), basés sur l’architecture Transformers, ne sont qu’une partie de ce qui est fait dans le domaine de l’intelligence artificielle. Bien qu’ils soient très puissants et permettent des interactions en direct, ils souffrent de nombreuses limites comme l’hallucination, qui n’est en réalité pas un bug, mais bel et bien un élément attendu dans ce type de système. Pour en apprendre davantage sur les fondamentaux techniques des LLMs de façon visuelle, vous pouvez en apprendre plus dans la playlist de 3Blue1Brown sur les réseaux de neurones.

Mais il existe un monde gigantesque en dehors des LLMs. On parle par exemple assez souvent des modèles de diffusion pour les images et les vidéos. Mais L’IA est utilisé dans beaucoup de domaines et a adopté énormément d’usages. Par exemple, il n’y a qu’à voir le site web there is an AI for that qui répertorie actuellement plus de 35’000 outils d’IA. Il n’est pas nécessaire de tout connaître, mais il est bien d’utiliser sa curiosité pour voir ce qu’il est possible de faire au-delà de ChatGPT.

Le problème des LLMs propriétaires comme ChatGPT

Le problème des LLMs propriétaires comme ChatGPT

Au sujet des modèles commerciaux tels que ChatGPT utilisés par beaucoup de personnes, peu d’attention est portée sur le fait qu’ils sont en fait possédés par de grandes entreprises. Ces dernières sont les seules à pouvoir créer ces modèles de fondation puisqu’elles disposent de systèmes de calcul très puissants. Ce n’est pas à la portée de tout le monde. Bien que ce soit une grande chance pour nous que ces entreprises permettent au plus grand nombre de profiter de ces modèles (souvent gratuitement), cette situation soulève des questions importantes.

Premièrement, ces modèles commerciaux sont problématiques pour l’environnement parce qu’ils consomment davantage d’énergie que la plupart des systèmes que nous avons créés jusqu’à maintenant. De plus, malgré leur accessibilité grâce à la gratuité de certains modèles propriétaires, ce sont principalement quelques compagnies qui en possèdent le contrôle. Beaucoup de personnes ont vu dans l’ouverture et l’accès à ces modèles une démocratisation de l’IA, mais aussi longtemps que ces modèles seront centralisés et la propriété de grandes compagnies, le terme « démocratisation » ne peut pas être employé.

Deuxièmement, en tant qu’utilisateurs, nous avons tendance à utiliser ces modèles pour presque tout. Par exemple, nous utilisons ChatGPT pour écrire une lettre de motivation ou corriger des fautes d’orthographe. On pourrait se questionner sur la nécessité de devoir utiliser un grand modèle capable de grandes prouesses comme la création de code, l’écriture stylisée ou les raisonnements mathématiques avancés, pour ajouter quelques « s » oubliés dans un petit texte. Est-ce que cette consommation d’énergie est nécessaire ? N’aurions-nous pas des modèles tout aussi performants et moins énergivores ? La parcimonie est nécessaire ici.

De plus, une portion significative des utilisateurs discute librement de choses privées avec ces modèles, ce qui est problématique, car ces données sont ensuite utilisées par les compagnies pour le réentraînement de leurs modèles. Notons également qu’un compte sur ces plateformes centralisant toutes nos conversations permettrait d’établir des profils d’utilisateurs très précis. Ces données pourraient être utilisées à des fins de publicités personnalisées à l’intérieur des discussions.

Quelles sont les alternatives ?

Quelles sont les alternatives ?

DuckDuckGoAI

Heureusement, il y a des solutions pour celles et ceux qui s’intéressent à ces problèmes. Pour la confidentialité, nous pouvons utiliser DuckDuckGoAI qui donne accès à des modèles en ligne d’OpenAI (GPT-40 mini et 03-mini), Anthropic (Claude 2 Haiku), Meta (Llama 7B) et Mistral (Mistral small) gratuitement sans la nécessité d’avoir un compte. La plateforme se charge d’envoyer les requêtes pour nous et donc aucune de nos conversations n’est centralisée dans un seul et même compte. À condition que des informations sensibles ne soient pas transmises, cela garantit une bien meilleure confidentialité. Toutefois, ça ne règle pas forcément le problème environnemental parce que de nombreuses personnes peuvent continuer à utiliser ces grands modèles en ligne pour de petites tâches.

Huggingface Spaces

Nous avons la possibilité d’utiliser une grande variété de modèles d’IA sur la plateforme Huggingface. Ce site donne la possibilité d’utiliser toute une série de modèles gratuitement et sans données collectées. Il suffit de les chercher dans les Huggingface Spaces. Puisque de nombreux fournisseurs de modèles utilisent ce système pour faire de la promotion de leurs produits, il nous est possible de tester des modèles récents et avancés sur Huggingface. Il n’y a pas que des modèles de conversation, mais également des modèles de génération d’image, d’audio ou de vidéo. Notons toutefois qu’il n’est pas garanti que tous les modèles restent disponibles indéfiniment.

SLMs ou Modèles locaux

Une autre approche, qui permet à la fois une meilleure confidentialité et un usage limité d’énergie pour des petites tâches, est l’utilisation de modèles locaux ou Small Language Models (SLM) tels que LLaMA 4, Qwen 3 ou Gemma 3 (il y en a bien plus). Ces modèles se trouvent également sur Huggingface, mais peuvent être téléchargés et utilisés localement. Parce que ces modèles sont beaucoup plus petits et disponibles en différentes tailles, ils peuvent marcher sur nos ordinateurs et restent quand même assez performants pour la taille qu’ils ont. Typiquement, ils sont assez efficaces lorsqu’il faut faire de la traduction ou de la correction textuelle.

Il est aujourd’hui assez simple de les obtenir. Il suffit de choisir un logiciel tel que ollama ou LM Studio. Puis de télécharger un modèle local au travers du logiciel. Notons que les modèles ne sont pas open source mais plutôt open weight qui ont dans la grande majorité des licences permissives, donc pas de restriction pour une utilisation privée. Il existe des ressources francophones disponibles pour les deux logiciels. Une playlist sur ollama et une vidéo sur LM Studio.

Qui dit local, dit indépendance à Internet, ce qui reste un argument assez intéressant. On notera aussi que pour nos amis développeurs, l’utilisation de l’API par le biais des logiciels fournissant ces modèles locaux n’engendre pas de coût contrairement aux modèles commerciaux.

Puisque les modèles sont disponibles directement sur nos ordinateurs, la confidentialité est garantie. Ils ne sont pas aussi puissants que les plus gros modèles commerciaux, mais la plupart du temps, cela suffira pour des tâches textuelles simples. C’est un atout majeur qu’il ne faut pas négliger. Il faut toutefois noter que les SLMs sont beaucoup moins performants que les LLMs (modèles commerciaux) lorsqu’il s’agit de répondre à des questions de connaissance ou de résolution de problème. Mais les petits modèles peuvent combler en bonne partie ce désavantage en utilisant le RAG (Retrieval Augmented Generation). En leur donnant accès à des ressources en local et en ligne, les SLMs comblent leur manque de connaissances.

Notons qu’une des limites de cette approche est de devoir utiliser des modèles plus petits lorsqu’on ne dispose pas de carte graphique assez puissante sur notre ordinateur. Sans cela, les modèles supérieurs à 4b (4 milliards de paramètres) seront très lents. Malgré ces limitations, les modèles locaux restent des alternatives viables aux modèles commerciaux. À l’avenir, ces SLMs vont s’améliorer et devenir de plus en plus performants tout en restant de taille accessible. Pour des tâches spécifiques (surtout après le recours de Fine-Tuning), ils seront vraiment très pratiques et utiles. Voilà pourquoi je recommande l’utilisation de petits modèles locaux pour de petites tâches.

Pas besoin de ChatGPT pour ça

Pas besoin de ChatGPT pour ça

Donc pas besoin de ChatGPT pour ça. « Ça » ? C’est quoi « ça » ? Ce sont des travaux basiques, tels que les résumés simples, les traductions, la correction textuelle, le brainstorming ou la reformulation. Ces tâches peuvent être faites localement et en toute confidentialité en utilisant un SLM. Lorsque des sources sont disponibles, ces modèles sont capables de répondre précisément à des questions dans un domaine spécifique. Pour de nombreuses tâches, nous n’avons pas besoin de ChatGPT ni d’un modèle aussi volumineux. On a simplement besoin d’un modèle compact qui suffit pour répondre à nos emails et écrire des messages, corriger des fautes, traduire nos documents ou tout autre type de tâches de ce type-là. Si vous avez une bonne maîtrise de la programmation, vous pouvez même automatiser des processus localement et gratuitement.

Si l’approche des modèles locaux ne vous plaît pas ou que vous avez besoin de modèles plus grands ou sophistiqués pour répondre à des questions mathématiques, de logique ou de programmation, vous avez toujours la possibilité d’utiliser DuckDuckGoAI qui donne accès gratuitement et de manière confidentielle à de plus grands modèles. Huggingface Spaces et une alternative intéressante qui donne non seulement accès à des LLMs et SLMs de tout genre, mais aussi à des modèles de génération d’audio, d’image ou de vidéo.

Si vous avez un abonnement payant à auprès d’une compagnie de LLMs commerciaux et avez donc accès à de meilleurs modèles, vous pourrez les utiliser pour des problèmes plus costauds. Toutefois, rien ne vous empêche d’utiliser un mélange de toutes ces alternatives présentées ci-dessus.



Enseigner à l’UNIGE: ressources en un clic

L’enseignement à distance dans l’urgence du COVID a permis à l’UNIGE, comme à d’autres universités, de mieux réaliser l’importance d’un soutien pertinent et efficace pour les enseignant-es. Des ressources sur l’enseignement à distance et hybride avaient alors émergé très rapidement et avaient atteint leur cible. En sortie de crise, des entretiens menés avec des enseignant-es ont démontré le besoin de faciliter l’accès aux ressources existantes. L’enseignement à distance a perdu en importance mais les défis ne manquent pas, que ce soit autour de l’IA dans l’enseignement ou de la crainte de voir l’enregistrement des cours vider les auditoires.

L’enseignement est une des missions fondamentales de l’UNIGE, mais il n’est pas facile de lui accorder la place nécessaire dans un quotidien professionnel chargé. Les services communs de l’Université développent tout au long de l’année des ressources et prestations de haute qualité, qui n’ont pas toujours la visibilité qu’elles méritent. Le nouveau portail Enseigner à l’UNIGE vise à simplifier l’accès à ces ressources pour vous accompagner dans toutes les phases de votre enseignement.

Quelles que soient votre approche, votre expérience et vos méthodes d’enseignement, vous trouverez en quelques minutes des pistes inspirantes à explorer, avec des filtres par objectif, par format de ressource et par durée de consultation. La page sera mise à jour régulièrement pour inclure les nouvelles ressources qui seront développées. N’hésitez pas à parcourir ces contenus et contactez nos équipes, elles sont là pour vous!