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Archives mensuelles : mars, 2011

Gravatar, ou la centralisation des avatars

Gravatar, qu’est-ce que c’est?

Un site qui vous permet de créer un avatar, c’est à dire une représentation visuelle de vous-même, utilisable par d’autres sites web. Par exemple, le blog du Ciel, Redmine, ainsi que d’autres sites l’utilisent. L’avantage étant de ne pas avoir à ré-entrer les mêmes informations sur chacun des sites concernés. Cela permet non seulement de s’éviter du travail inutile mais surtout de garder le contrôle de ses données en les centralisant. On peut ainsi modifier son avatar sans devoir répliquer cette modification sur chacun des sites.

Au delà de l’identité visuelle, Gravatar, fournit deux services complémentaires:

  • La définition d’un profil unique en entrant quelques informations basiques – nom, prénom, surnom, etc.
  • La gestion des identités numériques. C’est à dire le nom des comptes associés à une personne – par exemple compte Twitter, Facebook, etc.

Pour ce qui est de la gestion des identités numériques, Gravatar ne se contente pas d’une simple liste d’identifiants mais garantit que les comptes appartiennent bien à la personne en les validant. Il faut alors passer par un processus qui demande de s’identifier directement auprès du service concerné – Twitter, Facebook, etc. Ce détail a son importance, car grâce à ce processus, Gravatar n’a jamais accès aux mots de passe. Cela permet de se prémunir contre des fuites éventuelles.

L’inconvénient essentiel de Gravatar est que les sites qui l’utilisent doivent avoir été développés en conséquence. S’ils n’ont pas été développés pour lui, alors point de salut, il faut se résoudre à recréer son profil manuellement.

Ceux qui veulent en savoir plus peuvent visionner la présentation ci-contre (en anglais) ou se rendre sur le site de Gravatar.

Pour l’essayer, il suffit de se créer un compte et de poster un commentaire sur notre blog.



âgé et technologie = 2 mots qui ne vont pas ensemble ?

Jolie rencontre des « toujours jeunes » et de la technologie actuelle.

L'age d'or du techno



Evernote

J’ai découvert Evernote dans les top-100 outils les plus utilisés (il devait se situer dans la fin des top-100). Je cherchais un outil qui me permette de capturer simplement chaque idée qui me passe par la tête, ou de rédiger des notes plus conséquentes avec références à l’appui. J’ai expérimenté très tôt un livre électronique sur lequel il était possible d’écrire (bien avant l’iPad!). Il s’agissait du modèle de Philips, le iRex: technologie d’encre électronique, visible en plein soleil, avec stylet pour écrire. Je l’ai utilisé pendant plus d’une année pour y inscrire mes notes. Le logiciel de reconnaissance d’écriture n’était pas vraiment utilisable. Au bout de 100 pages de notes, le iRex devenait très lent. D’autre part, il fallait synchroniser régulièrement mes notes avec mon PC: pas très pratique. Puis, un jour, dans cette synchronisation j’ai perdu des notes, et cela a signé son abandon! D’ailleurs, cette technologie a été abandonnée, au profit des eReaders qui ne permettent pas d’écrire. Dommage, car le iRex méritait d’être amélioré.
Pour revenir à Evernote: un logiciel sans prétention, mais qui remplit pleinement son rôle: WYSIWYG simple, possibilité d’importer (avec « drag » de la souris) des images, des documents PDF, etc. Sauvegarde automatique (pas de touche « save »). Classement des notes par mois, moteur de recherche puissant, bref je l’utilise chaque jour! Il y a encore bien d’autres fonctionnalités à explorer. Et il y a des versions pour iPhone, iPad, Android, etc.
Pour plus d’information, voir http://www.evernote.com/



Environnements Informatiques pour l’Apprentissage Humain (EIAH) 2011 – Mons 25,26 et 27 mai 2011

La prochaine conférence EIAH 2011 (Environnements informatiques pour l’Apprentissage Humain) qui se déroulera à l’université de Mons en Belgique les 25, 26 et 27 mai 2011 part à la recherche des convergences entre les acteurs des EIAH.

Le champ scientifique des EIAH concerne les environnements informatiques dont la finalité explicite est de susciter et d’accompagner l’apprentissage humain. Ces travaux convoquent des spécialistes de disciplines aussi diverses que la psychologie, les sciences de l’éducation, la didactique, l’informatique, les sciences sociales, l’ergonomie…

Le colloque propose 2 conférences plénières (Danielle McNamara (Memphis University) et Pierre Dillenbourg (EPFL)) ainsi que des ateliers thématiques.

Vous trouverez toutes les informations nécessaires sur le site de la conférence.



Développer la pédagogie universitaire numérique Colloque à Besançon, 17-19 mai 2011

Les universités Vivaldi (elles sont organisées aux quatre saisons), « ont pour but de rassembler pendant trois jours des acteurs de l’enseignement supérieur motivés par l’utilisation des TICE sur une thématique d’opportunité. Elles sont organisées sous forme de sessions plénières et sous forme de sessions parallèles. Les sessions plénières sont destinées à présenter l’état de l’art des TICE sur les plans des technologies et des usages ; les sessions parallèles sont dédiées à la présentation des expériences pédagogiques et à l’échange de points de vue entre pairs. »

Les prochains séminaires auront  lieu à Besançon les 17, 18 et 19 mai 2011.  Le délai pour soumettre une contribution est extrêmement court : le 31 mars… Mais vous pouvez être présent(e)s, participer sans soumettre un contribution.

Pour toute information, consultez le site !